Ce contenu est archivé.
Le 5 décembre 2005
Geneviève Bergeron
Hélène Colgan
Nathalie Croteau
Barbara Daigneault
Anne-Marie Edward
Maud Haviernick
Barbara Klucznik Widajewicz
Maryse Laganière
Maryse Leclair
Anne-Marie Lemay
Sonia Pelletier
Michèle Richard
Annie St-Arneault
Annie Turcotte
Parce qu’elles renversaient la tendance, parce que la méfiance ne faisait pas partie de leur trajectoire, parce qu’elles prenaient en charge leur destinée, parce qu’elles étaient femmes, les quatorze victimes du drame insensé de l’École Polytechnique de Montréal nous interpellent depuis ce fatidique 6 décembre 1989.
Quelle signification donner à cette tragédie encore si douloureuse et si fraîche à notre mémoire ? Comment réconcilier désarroi et volonté d’agir ? Mes pensées vont aux familles et aux proches des défuntes victimes dont la vie a aussi été meurtrie.
Puisse cette Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes nous porter toutes et tous à réfléchir et à nous mobiliser pour l’égalité absolue des femmes et des hommes.
Michaëlle Jean
-30-
Renseignements aux médias
Eric Richer
Bureau de presse de Rideau Hall
(613) 998-7280
www.gg.ca
