Kitchener (Ontario), le mardi 23 septembre 2014

Je vous remercie d’être ici et de m’avoir invité à venir vous parler aujourd’hui. Mon épouse, Sharon, et moi sommes ravis de nous joindre à vous pour cette importante discussion.

Il est difficile de trouver un sujet plus digne de notre attention collective que le bien-être des enfants.

De plus, comme les membres et les parrains d’UNICEF le savent si bien, le bien-être des enfants est aussi un indicateur crucial de notre succès global en tant que société.

Voilà pourquoi je me réjouis de voir naître l’Observatoire pour les enfants du Canada, qui coïncide avec le 25e anniversaire de la Convention relative aux droits de l’enfant.

Ce forum est fort susceptible d’inspirer de nouvelles idées et stratégies en vue d’aider les enfants.

Le but est des plus ambitieux : faire de la santé, du bonheur et du développement des enfants une priorité nationale. Pour y parvenir, l’Observatoire travaillera avec des partenaires nationaux et internationaux afin d’étudier et de mesurer le bien-être de l’enfant, ainsi que d’assurer la meilleure enfance possible à chaque enfant au Canada.     

Ces étapes sont essentielles si l’on désire comprendre et améliorer la situation. Le Canada a remporté des réussites notoires sur le plan du bien-être et du développement de l’enfant, mais il reste encore beaucoup à faire. Selon le Bilan Innocenti de l’UNICEF, qui mesure des indicateurs comme le bien-être matériel, la santé et la sécurité, l’éducation, les comportements et les risques, ainsi que le logement et l’environnement, le Canada occupe le 17e rang parmi 29 nations affluentes.

Autrement dit, la moyenne ne suffit pas, surtout lorsque nous avons les moyens de faire beaucoup mieux. Nous pouvons faire mieux, et nous le devons.

Une fois de plus, j’aimerais remercier chacun d’entre vous d’être ici aujourd’hui. Je suis heureux de voir que des gens aussi différents se sont réunis pour s’attaquer à cette question d’envergure. Pour réussir, il faudra miser sur les idées et la participation de tous les secteurs de la société.

Nous sommes impatients d’entamer la discussion et de connaître les résultats de cette importante initiative. Nous vous souhaitons le plus grand des succès.

Merci.